L’histoire d’un père avec son fils unique
L’histoire d’un père avec son fils unique
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Ils étaient tous les deux, des non musulmans.
Par la volonté de Dieu, l’enfant s’est converti à l’islam, devient musulman.
Le père un sage homme, honora sa décision dans toutes ses proportions.
Par la suite, les jours passent et se succèdent ; l’enfant changea complément de conduite, le père fut ébahit.
Ce dernier à sa grande surprise ; voit chaque jour l’enfant prendre de l’eau et faire ses ablutions 5 fois dans la journée, avant d’allé à la prière.
Le père fut assommé de voir à chaque fois que l’enfant chemine dans les toilettes, il use de l’eau.
Le père fut abasourdi de voir l’enfant prendre un bain chaque matin, s’habiller de manière décent, se comporté comme un responsable et consciencieux à bien des égards.
Le père dans l’incapacité de garder son tranquille, il tâtonna ; tâtonna ; puis un jour, il appela son fils et lui demande :
« Oh mon fils, mais ce quoi au juste votre religion ? Une religion qui vous autorise à gâcher autant d’eau »
L’enfant lui rétorque avec sagesse « il ne s’agit pas d’un gâchis papa, mais nous les Musulmans ; ont usent l’eau pour se purifier, se faire propre perpétuellement.
C’est-à-dire être nettoyé tant par l’habillement que par le corps afin de pouvoir se présenter devant Dieu, il est propre et aime tous ce qui est pur.
Après nos besoins à la toilette, l’on doit laver ses parties intimes, il ne faut pas non plus s’habiller et se comporter n’importe comment ; manger et boire n’importe quoi !
Il y a des normes à respecter dans cette religion papa.
Je vais te dire un secret, elle est une religion de sagesse.
Papa j’ai compris maintenant cette fameuse phrase qui dit :
‘’ si tu veux comprendre l’Islam n’apprend pas les musulmans, mais apprend la religion car l’Islam ce n’est pas les musulmans, l’islam est la religion’’ !!!
Je remercie Dieu de m’avoir guidé vers le droit et véridique chemin celle de la fraternité de la paix et du pardon ».
Le père bouleversé, lui dit « oh mon fils c’est pourquoi tu es si claire alors, ton visage est si lumineux.
Regarde mon visage, mon fils comme il est sombre.
Oh mon fils c’est pourquoi tu dégages de la grâce et une paix intérieur inouïe.
Force est de constater que Nous après les toilettes, ont ne se purifient même pas, ont urinent partout, ont s’en fichent si l’habit est décent ou pas.
Nous ont est quasiment dépourvues de valeur et de pudeur ; nous sommes insensibles à la vérité.
Nous, ont s’occupent guère et nullement du bien ou du mal, ont aperçoivent la vie sous l’angle de l’individualisme et du profit uniquement.
Oh mon fils, j’aime merveilleusement votre religion, car elle est vraiment une religion de propreté, de pudeur, d’apaisement, de considération et d’harmonie sur toutes ses compartiments.
Mon fils, j’ai passé de long nuit à veiller, à essayer de comprendre cette belle religion qui ta métamorphosé en un claquement de doigt.
Dis moi, j’ai bien réfléchis ma décision est prise je me converti a l’Islam.
Pendant toutes ces années j’ai coulé dans l’erreur, la méfiance, dans l’insouciance, aux abimes des péchés.
Est-ce que votre Dieu me pardonnera ?? »
Oui papa Allah est très altruiste, et miséricordieux.
Il te pardonnera !!
Ils s'embrassèrent très fort et leurs larmes commencèrent à
couler.
Ils sentaient à jamais affranchies des ténèbres et
pardonnés.
Ce fut la première fois que l’enfant ; voit les larmes
de son cher Papa; et ce pour la dernière fois de sa vie.
Les années passèrent ; ils vivaient une vie inédite de
musulman en dépit des préjugés ; calomnies et affirmations gratuites.
Ils en feront un pont et non pas un mur; Ils étaient heureux
de leur vie paisible et harmonieuse de croyant.
Un soir de vendredi de Ramadan après la prière de Nafilaah ;
bien après avoir lu ensemble et en chœur le saint coran.
Dans l’optique de se réveiller pour la prière de la nuit du
Ramadan Al Quiyam Moul Leyli.
Ils s’endorment le sourire aux lèvres ; et ne se
réveillèrent plus jamais de leurs sommeils.
Fin de L'Histoire.......
Écrite par ABDOU BASSIT BADJI
Dédie à mon ange Maman ‘’MAMAN RAMATOULAYE’’
Sans elle ; je serai un Barbare.
ÂMES USEZ VOUS
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