CHEIKH YÉRIM SECK PERSONA NON GRATA EN CASAMANCE
CHEIKH YÉRIM SECK PERSONA NON GRATA EN CASAMANCE
ABDOU BASSIT BADJI [ANALYSTE EN HERBE]
Je vous
écris ces quelques mots à vous Monsieur Cheikh Yérim Seck tout en étant
conscient que ce texte à la dimension satirique venant de ma modeste personne
ne te parviendrait peut être jamais.
Ben au fait
je m’en fou amplement.
Néanmoins je ne me découragerai guère ; je vais quand même l’écrire afin
d’extérioriser ne serai-je que la moitié enfin presque toute cette amertume qui
m’anime et m’écrase à la fois.
Car comme
disait l’autre ; aux pays des hommes les mots s’envolent ; les écrits
demeurent.
Bien au
de-là de cette <<personne cinglée>> que tu es Monsieur Yérim Seck.
Très
sincèrement j’avoue si aujourd’hui je me targue d’être analyste en herbe ;
au point d’écrire des chroniques sur les tenants et aboutissants des sociétés
voire les maux qui hantent le sommeil des hommes, rythment les lèvres ; défrayent
la chronique faisant couler encres et salives c’est tous simplement grâce à
vous.
Je vous en
remercie solennellement car vous avez réveillez ce modique talent d’écrivain
qui somnolait en moi.
Ce à
travers tes quelques brillantes sorties jetant votre grain sel sur quelques
points ; notamment sur la crise gambienne ; de tous bords on
pouvait déceler ta franchise et pertinence d’analyse au regard du thème en
question.
Compte fait ; tous ses sentiments
d’estimes que je nourrissais pour vous sont bien beaux ; et étaient
sincères à bien des égards.
Jusqu’au jour où sans avoir froid aux yeux
avec ta tête si chauve sur les écrans d’une
télévision d’à côté ; ce devant tous les Sénégalais en particulier et le
monde entier en générale.
Tu laissas
cette phrase en plein crise ; je cite
[L’ÉTAT DOIT FAIRE LA GUERRE EN CASAMANCE. Eh oui, L’ÉTAT DOIT
FAIRE LA GUERRE EN CASAMANCE].
Je me demandais à t’attendre parler, est-ce que ce monsieur
est bien dans sa <<putain de tête soi disant d’ancien violeur>> ?
Les jours passent et se succèdent ; mais chaque jour
qui tire sa révérence ; je ne cesse de me demander Comment avez-vous osé sortir de tels mots,
sur une question qui devance largement ton entendement ; sur un conflit
qui à débutait quand tu avais seulement que 13 ans.
Force est de constater que tu fais parti de ce lot
d’individus en perdition qui semblent contraintes de vouloir toujours gueuler
sur des choses qui les outrepasse.
Pour conclure ; vite fait, parce que désormais pour moi, tu ne mérites
même plus que je perds mon temps à cause de vous ; Dieu sait à quel point
je suis déçu à vous entendre dire ses propos gratuites, inconscients et
racistes.
Et dans la foulée j’espère bien du moins ça me fera un
plaisir fou que tu prends ta soi disant bravoure à deux mains avec ta
silhouette famélique ; en intégrant les soldats et missionnaires qui
viendront faire la guerre en Casamance.
Monsieur Yérim je vais
de part ma plume débile t’inviter à me répondre à savoir durant toute ta
vie, et au cours de ton carrier et dans
tout les pays que tu as fais.
Où est-ce que tu as une fois vu ou lu une guerre minime ou
colossale qu’elle soit ; qui à été modérée par une guerre ?
Où est ce tu as une fois vu un conflit exprimé ou latent
qu’il soit ; s’est vu apaiser par les armes ?
Bref je finirai par dire à toutes ses personnes <<merdiques>>
qui lassent des mots gratuites sur le conflit Casamançais de bien vouloir
mesurer leurs dires car les bâbords, tribords ; dessus et dessous de cette
question sont très complexes et le moindre erreur pourrait être
<<fatal>>.
On ne laissera plus à qui veut se permettre de dire n’importe
quoi Nana Ni ; Nana Na sur la crise Casamançaise. Basta !
Car nous sommes O combien conscient que le linge sal se lave
en famille et rien n’est quasi éternel.
ABDOU BASSIT BADJI [ANALYSTE EN HERBE]
Natif de la région de Casamance ; cette région qui m’a vu naitre ; qui m’a vu
grandir en accompagnant mes pas et dents
de l’ait.
Cette
région témoin oculaire de mes débuts, qui à couvée mes joies de vivre et mes
caprices ; cette région pourtant si soyeux et au O combien généreux me
dorlote avec sa splendide pleine lune ; sans pourtant oublié ses brises
sensationnels, ses forets inédits et ses marigots farfelus.
C’est belle et bien la CASAMANCE la capitale
verte ; meilleure ville du SÉNÉGAL.
ÂMES SUEZ
VOUS
Commentaires
Enregistrer un commentaire