MON UNIVERS BASSIT

L’histoire d’un père  avec son fils unique ABDOU BASSIT BADJI · Ils étaient tous les deux, des non musulmans. Par la volonté de Dieu, l’enfant s’est converti à l’islam, devient musulman.   Le père un sage homme, honora sa décision dans toutes ses proportions. Par la suite, les jours passent et se succèdent ; l’enfant changea complément de conduite, le père fut ébahit. Ce dernier à sa grande surprise ; voit chaque jour l’enfant prendre de l’eau et faire ses ablutions 5 fois dans la journée, avant d’allé à la prière. Le père fut assommé de voir à chaque fois que l’enfant chemine dans les toilettes, il use de l’eau. Le père fut abasourdi de voir l’enfant prendre un bain chaque matin, s’habiller de manière décent, se comporté comme un responsable et consciencieux à bien des égards. Le père dans l’incapacité de garder son tranquille, il tâtonna ; tâtonna ; puis un jour, il appela son fils et lui demande : « Oh mon

Pourquoi Moi           SLAM Si j’étais contemporain de Baudelaire ; je serai romantique Conscient que chaque matin le soleil se lève pour tous ; je m’en tape de vos critiques. Auparavant je courais derrière les gens ; non pas pour les plaire où pour quelques somme d’argent C’est tous simplement et bonnement que je ne pouvais admettre qu’ont aient des différends. Je vous dis, certes elle ne connaît pas l'univers, mais elle connaît amplement ses propres enfants De l’enfance à l’adolescence vu mes errements et carences ; que serai-je sans mon ange maman. J’ai vu des gens en train de lire des messages et rire ; j’ai vu des gens lire des romans et rire Par là j’ai compris que lire n’est pas faite pour nuire ; mais pour davantage nous faire vivre. Par là j’ai compris qu'il est plus facile d’écrire sur soi-même ; que de transcrire le monde. Entre intention, acte et interprétation se dresse tout un univers de

CHEIKH YÉRIM SECK PERSONA NON GRATA EN CASAMANCE ABDOU BASSIT BADJI  [ANALYSTE EN HERBE] Je vous écris ces quelques mots à vous Monsieur Cheikh Yérim Seck tout en étant conscient que ce texte à la dimension satirique venant de ma modeste personne ne te parviendrait   peut être jamais. Ben au fait je m’en fou amplement. Néanmoins je ne me découragerai guère ;   je vais quand même l’écrire afin d’extérioriser ne serai-je que la moitié enfin presque toute cette amertume qui m’anime et m’écrase à la fois. Car comme disait l’autre ; aux pays des hommes les mots s’envolent ; les écrits demeurent. Bien au de-là de cette <<personne cinglée>> que tu es Monsieur Yérim Seck. Très sincèrement j’avoue si aujourd’hui je me targue d’être analyste en herbe  ; au point d’écrire des chroniques sur les tenants et aboutissants des sociétés voire les maux qui hantent le sommeil des hommes, rythment les lèvres ; défrayent la chronique faisant cou