LA SOIF D'ETRE APPRECIEE

SLAM

LE COEUR DU MONDE VA MAL

 

 

 

 

Il était une fois…

J’ai pris ma plume garnie d’une extrême folie ; toute seul sur mon lit essayant en vaine de transcrire ce monde agonisant digne d’une jungle.

A ce qu’il parait il est plus facile d’écrire sur soi ; sur ses passions et sa dinguerie voire même sur ses conneries que de libeller l’immoralité de ce monde nauséabonde.

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 Mais à présent loin de fusiller les romantiques la bande à Hugo ; je porterai en bandoulière ma plume satirique telle un domino afin de briser ma peine, peindre les temps durs.

          C’est sur qu’aujourd’hui en cette nuit solitaire dans mon lit ; je ne vais passer par quatre chemins ; à l’image des Alliés pour s’emparer Berlin ; diable la plaie du monde perdure.

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 Parfois ;  sincèrement je doute de ma foi ; au regard de la réalité ;  je me fais l’idée que la connerie  humaine  n’est-elle vraiment pas arrivée a son apogée ?

Vraisemblablement; comme dit le savant à sa nation ; c'est une question O combien sérieuse que chacun dans son coin ; doit véritablement se poser.

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Sous une tonalité mélancolique au sens parabolique ; le vieil homme m'a dit qu'un pays désuni ; n'importe quel idiot peut les gouverner.

On est arrivé à l’ère ou la galère dompte les âmes ; quand dans la cervelle des femmes perdre sa dignité comme sa virginité est maintenant un exploit à venter.

Ma maman une femme charmante et aimante ; ne se lasse de dire avec le sourire ; mes enfants ; la jeunesse tue elle est a consommée avec modération.

              De mémoire d’homme ; je ne saurai imaginer que l'Homme perdrait à jamais le cran de la sensation.

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 Oxydent… euh pardon Occident qu’à tu fais à la Syrie à khadafi ; sincèrement qu’à tu fais à Kigali à Somalie et à ce peuple innocent du Mali sombré à jamais dans la terreur ?

Politicien moderne rime bien avec chien de caserne aujourd’hui ; il est indéniable qu’entre eux ; il y’a une parenté inouïe ; c’est vrai ils sont tous les mêmes sucer d’espoir et beau parleur.

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Au fur du temps, j’ai su et appris à me foutre royalement de ce que les gens pensent de moi.

       Que peut importe ton sang et ou la vie nous mène, bien vrai que le destin amène qui veut et d’un clin traine qui ne veut pas ; je ne serai aucunement toi.

      Mieux vaut finir sa vie dignement et aisément comme Artur pan dragon dans merlin.

           Que de la passer à courir derrière les gens ; qui ne constatent nullement que des fois t’es là ; chez qui t’es qu’un summum vaurien.

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 Le monde s’effondre ; j’ai vu un fils qui vit, aspire à la modernité tel un diablotin passionné niquer sa mère.

         Le cœur du monde va mal ; le sieur Asiatique si fier de sa terre ; et la sœur de l’Afrique pareil à l’animal commère.

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 Depuis quand la vie est-elle devenue amer au point de liquider sa dignité ce qu’on à de plus cher ; Pour l'édifice de la perversion.

         Il parait vivre éloigné de sa famille est la pire des sanctions ; mais apanage de tout brave garçon.

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 Combien de gens fête leurs anniversaires le jour où ils ne sont pas nés ; dans les vestiaires combien sont morts nés ?

      La vie, en réalité n’est pas aussi compliquée au point de déprimé ; on est soit là ou on n’est pas là ; on est karman ou Satan avisé.

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 Ce carnage dans l’Atlantique pour une vie exotique ; Oh l’océan Atlantique tombeaux  fantastique béant de regrets de projets, d’espoirs de savoirs, d’avenirs et de sourires innocents.

           Des nations érigées sur un bain de sang ; des groupes hommes hissés au dessus du peuple souffrant ; est-ce du cran où des actions que vous faites sciemment ?

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 Cette sensation inédite me détruit, à la fois me plonge dans le vide

Qui diable aurait cru une fois que ma génération allez sombrée dans l'oublie.

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J’ai entendu dire que l’amour pur est plus grand que tout ; qu’il peut à bien des égards tout changer.

        Moi personnellement avec ce sentiment je me sens comme un étranger ;  au cœur par hasard insensé fuyant perpétuellement d’être brisé et tronqué.

 

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Hé ! Si tu me crois vraiment parano ; de ce pas je m’en vais paraphraser soprano avec ces mots

 

Je les Slam Je le cite, je le chante

‘’ Qui a vu le cœurdonnier ??

Le monde a le cœur déchiré.

Si tu nous entends ; viens nous le réparer.

 Le cœur du monde va mal ; La folie des hommes nous l’a déchiqueté.

Le monde a besoin de toi ; Monsieur le cœurdonnier. ’’

 

 

 

 

 ABDOU BASSIT BADJI [AMOUREUX DES MOTS]

 

 

Je dédié ce texte de cri de cœur à mes parents et à mes sœurs; surtout à ma maman.

car sans eux, je serai un barbare et ma vie, mon vécu équivaudrai à zéro !!!

 

 

 

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