TU ES NE POUR RÉUSSIR ! MONTRE LEUR QUE TU VAUX PLUS QUE CE QU’ILS CROIENT

 

      Laisse les gens croire que tu as raté ta vie pendant que tu avances au calme !

<< Vivez telle des hommes pour mourir comme des hommes.

Ne perdez jamais votre titre d’homme et n’acceptez jamais la honte et l’humiliation quelque soit  le prix.

Apprenez les enseignements de la vie étant donné que chaque jour avec son cortèges de leçons que la vie nous jette sur la figure ; garde à ceux qui n’en profitent pas pour se surpasser et bâtir la vie de leurs rêve ; car vous verrez deux personnes qui naissent dans le même quartier grandissent ensemble et se confrontent aux mêmes difficultés : L’une s’en sort victorieux et l’autre trépasse.

Il y’a de connaissances qui ne s’apprennent pas à l’école dans les livres à la maison ; mais entre amis et dans la rue ; comme il y’a cette éducation que nulle n’apprenne entre les quatre murs de la classe en famille ; mais dans l’école de la rue.

La rue à ses réalités car depuis la nuit des temps ; elle à formée des gens louables, dignes et exemplaires aussi  à détruit des vies et des avenirs prometteurs ….. Mais pas à jamais. Tomber sept fois et se relever huit fois est le mot d’ordre.

Vous êtes encore très jeunes ; je vous assure que c’est pendant cet instant que se forgerons à jamais les liens qui vous diviserons ou Vous unirez.

C’est pendant cette période que vous devenez de vrai homme et trouverez vos premières passions et compagnons de vie.

C’est pendant cette période que Satan et Dieu ont solennellement besoin de vous et dans cette mouvance, que vous allez trachée les chemins soit de votre réussite ou de votre échec et les arpenter fièrement. 

Enfin c’est le moment opportun pour arracher le respect et la personnalité la honte ou la fainéantise pour toujours.

Notez et retenez ceci mes anges>> avait dit la grand-mère de Pathé

Le visage crispé, laissant apparaitre une lueur de bonheur intérieur et de fierté ; la voix tremblotante et la mine râpée par le poids des années. 

Fut son discours légendaire devant toute une assistance garnie d’une grande majorité de jeunes du village avec au sein femmes enfants et vieillards tous émerveillés par ce beau discours livré par une dame de fer qui durant toute sa vie a servie de modèle… Mame Diarra la dame de fer << extrait dans mon roman ‘’Le secret du Village’’ que je suis entrain d’écrire actuellement.

Il était une fois……

5 ans maintenant jour pour jour.

Je me suis fais la promesse d’écrire cette chronique, car au fond fin de moi quelque chose me dis,  peut être qu'elle peut aider certaines personnes à éviter le pire.

Car depuis la nuit des temps, ont nous disaient toujours il faut apprendre de ses erreurs; mais n'oublions pas qu'il faut aussi apprendre des erreurs des autres, pour se forger et comprendre la vie.

Car tous dans la vie n'est que leçon.

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 Si vous n'avait pas le temps pour lire ce texte, ne le faites surtout pas, mais dés lors que vous prenez la décision de lire allez y jusqu’au bout, car au début elle peut paraitre insensée, mais à force de lire nulle n'en sortira indemne…

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        Quand je faisais la classe de terminale, ont avaient formé un groupe de travail entre amis de classe.

Pour être franc, cela n'a jamais été mon style le travail de groupe, parce que d'habitude, c'est une perte notoire de temps, mais cette année-là, piqué par je ne sais quelle mouche, j’ai jugé nécessaire de le faire.

N’est-ce pas il y'a un début a tous non ?

Hélas c'était moi même qui avait monté mon propre groupe d'environs 3 personnes, mais seul Dieu sait, ce que l’avenir nous réservait.

Cependant il y'avait une fille, la seule du groupe qui sortait de l'ordinaire.

Cette fille, ont s'est croisée en classe de première, entre-temps on a eu la chance de partager de nouveau la classe de terminale.

Elle habitait justement en face de l'école a même pas 20 mètres de lieux ou nous révisons une école primaire d'a coté.

Ensuite dans le groupe y avait moi et mes deux potes, un parmi les deux, ont a partagé la classe de seconde à la terminale successivement.

 Nous, nous venions des fin fonds de la ville sous le chaud soleil pour pouvoir travailler ensemble.

Contrairement à la fille qui n'avait qu’à faire trois pas pour accéder aux lieux de travail.

Jadis chaque pas que nous marquons, s'accompagnait d'une volonté inébranlable de réussite en l'air, poussé par une motivation qui nous surpassait de fond en comble.

Compte fait chers lecteurs, il y avait pendant cette période, des choses que je ne comprendrai quasiment jamais.

Certes il est avéré que chacun de nous est la pour vivre sa vie et non pour l'expliquer, que mieux vaut être un éternel incompris que seul l’éternel comprendra, mais peu importe...

Hélas durant cette période, à chaque fois que l'ont venaient pour travailler,  nous devrions d’abord passer chez elle pour prendre les matos, mais ont nous disaient soit qu'elle est chez ses copines, se tresse, soit dans la plupart du temps elle dormait.

C’était comme-ça de fil a aiguille, la même chanson, jusqu'á quasiment la fin de nos révisons.

Au regard de son comportement, mes potes commercèrent aussi à prendre du recul naturellement, je me souviens avoir parachevé nos ultimes révisions a deux.

C’est ainsi que le groupe s'est fracassé a cause du comportement irresponsable et incompris d'une seule personne, qui non seulement ne respectait rien mais semble de prés comme de loin oublier qu'elle doit étudier pour y arriver et que chaque chose a son temps dans la vie.

Dans la foulée, je reconnais parfois elle nous rejoignait, mais très rarement.

Évidement dans la vie, vous pouvez suivre une personne avec qui tu te dis partager les mêmes aspirations la même cause et parfois la même vision et destination.

Mais il faut toujours avoir le courage et la dignité de la quitter paisiblement et poursuivre son chemin; sil s'avère que cette personne s'écarte sciemment de vos aspirations pour emprunter une voie qui mène vers la perdition.

Ce après avoir tenter en vain de lui faire prendre raison.

On ne doit en aucun cas suivre une personne qui s'égare peut importe qui il est, ce qui vous lie, car mieux être seul que mal accompagné.

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 Après les délibérations des résultats du Bac, elle a été malheureusement ajournée des le premier tour.

Seul Dieu sait comment elle à pu vivre cet échec au fond d'elle-même dans sa conscience.

Je ne l'ai jamais jugé, car même Dieu ne juge aucune personne de son vivant, alors de quel droit me le permettrai-je ?

Mais s'il y'a une chose que je sache.

L’année suivante elle a décrochée le Bac avec brio.

Enfin j’étais tellement content d'elle parce qu’elle n’avait pas vraisemblablement baissé les bras, mais au bout du compte elle a su ouvrir les yeux et apprendre des ses erreurs.

Retenez bien apprendre de ses erreurs.

Car je suis persuadé que celui qui n’apprenne pas de ses erreurs, est inéluctablement condamné à les revivre, étant donné que c’est le cumul de nos bavures et erreurs qui font l’expérience d’une personne qu’elle porte fièrement en bandoulière.   

Elle  a su prendre son destin en main, savoir qu'elle ne devait pas seulement s’en faire pour elle, mais elle est un exemple pour ses sœurs et une fierté pour ses parents et qu'elle devait les honorer.

Car parfois, dans cette vie tueuse d’envie, incomprise et cruelle, il n y a rien de tel d'entendre que son enfant a réussit…

C’est à la fois un sentiment de fierté, qui rime avec honneur, savoir qu’ils ne se sont pas donné pour rien.

Peut importe d’où tu viens, qui t’es, riches ou pauvres, tu habitais dans le coin et au fin fond de la foret ; la réussite n’à point d’appartenance.

La réussite, elle frappe à la porte de tous ceux qui se battent pour y arriver ; même-ci on n’a pas le talent, car le travail bat le talent, alors faut y croire et se faire avec les moyens du bord.

Quand tu réussiras un jour ; même-si tu habitais au coin le plus reculé de la terre, au fin fond du foret ; le gens viendront frapper à ta porte pour demander tes services… y rien de telle !!!

Bille Gates disait : ‘’Ce n’est pas votre faute si vous êtes nés pauvres, en revanche, si vous mourrez pauvre, c’est votre erreur’’.

On n'échoue jamais là ou quelqu’un d’autre a réussit !

N’écoute jamais ceux qui te disent de prendre le chemin facile, si c'était facile tout le monde le prendrait.

Fehel mouk boul yáfouss, walá ken dileu rétaane, amal diom fouway réussir nga réussir fa, nite dafay am objectif am limiuy bagne, teh kouleu xar si galou xadj boumleusue fekk ngay naan.

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J’ai vu pour la première fois ma mère pleurait ; quand mon grand frère, si jeune a décroché le Bac S d’office.

Au moment où tout le monde jubilait de joie et d'honneur tel dans kirikou, elle s'est faufilée dans sa chambre pour pleurer des larmes de joie.

Je devais être au CEM en ces temps, en classe 4em si j'ai bonne mémoire.

Depuis ce jour, au sortir de cette scène sensationnelle, j'ai su que je n’avais pas droit à l'erreur.

Dieu merci !

<< Je franchis la porte de la maison, toutes dents dehors, l'air triomphant.

Grand-mère, le bac en poche avec la mention bien ! Hurlais-je.

Conta Khady Myriam Diop dans le roman chambre 7 de Faty Dieng.

Elle était devant sa porte.

Ah oui, elle m'attendait, soulagée, le stress complètement évacué.

‘’Yérim Fatim Penda, Mansata Diop, Makha Diop, Anta Diokoul, Pathé Samba Fall, ma petite-fille à moi, Khady Myriam Diop, je savais que tu allais le décrocher, ce diplôme ! Tu es allée le chercher ! Tu me l'as ramené haut la main.

Je suis fière de toi.

Lawla Thiat, que Dieu te préserve du mauvais œil. Tu m'as honorée, ma petite-fille. Venant de toi, ce n'est point une surprise, digne fille de tes ancêtres’’.

Elle pleurait des larmes de joie et de soulagement.

Terminait Khady Myriam Diop>>.

Donc libre à toi aussi, de faire sentir cette émotions inouïe et cet honneur a tes proches en réussissant, ou de baisser les bras et subir sachant que rien n’est fatal. Libre à toi !

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           Pour revenir ma camarade classe, son histoire m'a permise de dire que certainement, il existe deux types d'individus face aux péripéties de la vie et ses aléas.

*D’abord ceux qui doivent tomber, toucher le fond côtoyer le désespoir, titiller la perdition.

Peut importe ; au sortir du gouffre ils  apprennent de leurs propres erreurs et de ceux des autres pour se perfectionner et construire leurs succès ; pour pouvoir ensuite se relever fort et enfin conscient.

Voila pourquoi faut jamais oublier d’où l’on vient…

Car les difficultés fond ressortir ce qu'il y’a de pire chez les gens mais également ce qu’il y a de meilleur.

Comme l'a si bien dit Youssoupha ''On ne sait vraiment de quoi on est fait tant qu'on n'est pas brisé, et on se relève toujours’’

Je me dis en toute réalité qu'être brisé ne veut pas dire être condamné…..

*Ensuite il y a ceux qui ont la chance d’être dotés de discernement, qui parviennent dès le premier coup a toujours s'en sortir ; qui raflent succès sur succès.

Mais pas toujours naturellement, car d'habitude ils se brisent facilement  et leur redressement peut prendre un temps fou.

Mais une fois de nouveau au somment ; ils deviennent des personnes meilleures qu'hier ; ainsi va la vie avec son cortège d’erreurs ; parfois rempart vers le succès.

Dans cette mouvance, disait Mandela ''Quand tu t’es battu si dur pour te remettre debout, Ne retourne jamais vers ceux qui t'ont mis à terre''.

Ces seconds types de personnes viennent de loin ; ils sont parti d’un point A au point Z, leurs histoires est à la fois alarmante et inspirante.

Ils ont su laisser beaucoup de futilités se concerter sur leur objectif, en faisant preuve de sacrifice et de patience… Et ça a payé.

A titre d’exemple :

Kobe Bryant qui est décrit  comme le jouer qui s’est le plus entrainé dans l’histoire du basket ; On disait de lui au lycée il arrive tous les matins a 5 heures parfois a 3 heures pour s’entraîner avant les cours, il y retournait après l’école jusqu’a 19 heures.

‘’Lebron James s’entraîne 5 fois par jours ; cela est aussi une preuve que les réseaux sociaux sont bien loin de la vraie vie qu’un homme peut mener’’’.

Cependant ; parfois nous c’est seulement la partie visible que l'on voit d'eux.

Celle des hommes aux succès.

Mais derrière ces qualifications se cachent des années de travail en solo.

Comme l'a si bien dit Jamal Lazare ''Le succès du jour au lendemain, prend dix ans de préparation dans l'ombre''

Évidement derrière ces chapeaux-bas ; d’exploits ; se cachent d'énormes sacrifices  de discipline et surtout de motivation vers la réussite.

La motivation ; cette dernière est le moteur des actes a succès.

C’est dans cette perspective que Lebron James disait ‘’si tu fais ce qui est facile ta vie va être difficile, mais si tu fais ce qui est difficile, ta vie va être facile’’.

Quand on prend enfin l'exemple de la fouine qui a connu des périodes noires comme les foyers et la prison ; mais il n’a jamais perdu a l'esprit qu'il était née pur s'imposer et réussir, malgré que c’est dure.

''Je n'avais que 15 ans quand j'étais expulsé de l'école et placé en foyer. Je fuguais tous le temps. Mais il ne faillait pas que je dorme chez moi, si non les fics venaient me chercher direct. Je dormais chez des gens dans des voitures, dans des locaux... c'était la misère... déclarait il

Peut importe les difficultés que nous faisons face ; c'est qui est beau dans la vie est…

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_­*  Ce n’est pas tous le monde qui comprendra ton chemin ; Tu es là dans ce monde ; pour vivre ta vie et non pas pour l'expliquer ; n’essaies pas de les plaire !

*L'opinion la plus importante est la votre ; peut importe ce qu’ils disent de vous !

*Nous méritons tous une seconde chance ; elle nous est fournie par la vie ; saisissons-la !

                                                        Alors fonce…… Et montre que tu vaux plus que ce qu’ils croient ; en réussissant ; la plus belle réponse !!! 

Devient celui que personne ne croyait que tu seras.

 

A Suivre………

 

Je dédie cette chronique à mes parents ; mon père parti si tôt ; a mon ange maman sans qui ma vie équivaudrait à zéro, s’il existait une justice sur terre, elle serait des plus récompensés.

Je dédie a nouveau cette chronique a tous ceux qui aujourd’hui ne croient plus en eux ; ce grâce aux gens qui les qualifient de ratés ; d’incompétents, tuant leur estime et les convertissent en loser et proie de la société : a ceux-là je ne sais pas quoi dire car les mots ne sauront suffire. Juste une phrase s’ils me le permettent : Votre vie vous appartient tout simplement ; immergez-vous de bonnes pensées motivantes, soyez fiers de vous, car vous êtes encore vivants ; on vous jugera qu’importe ce que vous ferez, et ce que vous êtes. Mais n’oublies jamais que l'opinion la plus importante est la vôtre.  

Enfin comment ne pas vous remercier, et si seulement si je pouvais vous tenir dans mes bras ; a vous  qui de prés comme de loin croient a ma plume ; je vous dédie cette chronique.

 

                            MERCI a

 TOI …….

Pour la première Lecture

 

ABDOU BASSIT BADJI [AMOUREUX DES MOTS ET ANALYSTE EN HERBE]

 

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