HOMMAGE A SIDI LAMINE NIASSE LE MEDIATEUR COSMOPOLITE

Il parait qu’au cours de sa vie, l’homme perpétuellement suppose, mais au finisse Dieu dispose.
Que pour sa survie et pour sa foi, l’homme doit naturellement s’incliner devant cette loi des choses.

Il parait que le jour éloigné existe, mais celui qui ne viendra nullement, n’existe pas.

Que ce fut un Mardi sacré, que la nouvelle fâcheuse tomba.

Il parait que partout dans le monde, les cœurs et les esprits en chœur fussent touchés par cette perte si chère.

 Qu’un homme modèle parmi les hommes, loyal et si sincère, vient de parachever à jamais sa mission sur terre.

Sidi lamine Niasse s'en est allé subitement.

La Terre à l’unanime perd pour toujours un homme raffiné et éminent.

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Sidi ! Je témoigne fut un homme éloquent, savant, simple et croyant.

Il est de ceux-là qui durant leurs vécues étaient conscients  de leurs  place parmi les gens.

Parce qu’apparemment son séjour sur terre n'est pas vain.

Sidi était un saint  parmi les siens.

 Il parait qu’ont se demandaient s’il est marabout, philosophe, journaliste ou politicien.

Un homme aimé et approuvé de concert par les musulmans, juifs et chrétiens.

    Oui il était un saint parmi les siens.

Du caché à l’apparent, de l’orient au couchant, de pays en continent, il connaissait  le cours des choses.

 Parce que c’est Sidi, parce que c’est lui ; un homme tellement grandiose et à bien des égards virtuose. 

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Ce que les tyrans battissent des années dans la guerre farfelue, sidi la fait en une nuit, dans la paix inouïe.

Il fut la voix du peuple, le prédicateur adroit, la figure vivante de la sagesse accomplie.

Oh sidi le moralisateur, le pédagogue, le bienfaiteur achevé, ta vie sur terre na pas été vaine ; car sans toi beaucoup de vies seront rien.

Ce soi disant étranger parmi les siens, a su concrètement accomplit de sa vie des actes surhumains.

     Oh sidi lamine Niasse au sourire jovial, a la tonalité vibrante dans la vérité et au discours mémorial.

Au regard de tes actes à jamais ; les uns te porteront dans la tête et les autres dans les cœurs surtout chez toi au Sénégal.

Il paraît qu’il était un dur à cuire dans la justice pour tous, un ancré dans ces principes et un médiateur cosmopolite.

          Il était de ceux-là qui de l’admiration, de la richesse de la passion et de la tristesse n’en profitent.

Il parait L’islam, la vérité, le Salam, l’honnêteté  il en avait fait une banderole.

Que pour la paix ; du Sénégal des profondeurs à l’orient aux ardeurs en passant par l’occident la stupeur il en jouait des rôles.

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Parce qu’apparemment son séjour sur terre n'est pas vain.

Il était un saint parmi les siens.

Ont se demandaient s’il est marabout, philosophe, journaliste ou politicien.

Un homme aimé et approuvé de concert par les musulmans, juifs et chrétiens.

Sidi ! Je témoigne fut un homme éloquent, savant, simple et croyant.

Il est de ceux-là qui durant leurs vécues étaient conscients  de leurs  place parmi les gens.

>> Il parait une bonne action n’est jamais perdue, un tel Homme n’est jamais perdu ; Sidi le féru dans nos mémoires tu seras ancrés.

Que du sacré au profane, du profane au sacré tous fans de cet homme de vérité, à qui les œuvres se perpétuent à jamais dans l’humanité.

Son parcours est révélateur, sa voix éclaireuse, sa tombe révélatrice et preuve de sa dimension et de sa grandeur incommensurable.

Tfm  et Sud Fm ébahi ; De Walfadjri, à la 2sTv en passant par la Rts à la SenTv tous pleurent cet homme de cœur à la vie louable.

Est-ce seulement les médias et les daïras qui ont perdu, est ce seulement les humains et les saints qui ont perdu ?

Les valeurs qui fond la saveur de la personne : La connaissance et la vérité ; l’alliance et la bonté ont aussi perdus un ami assidu.

J’épuiserai tout mon encre mais je ne saurai tout écrire; j’userai toutes les feuilles mais je ne saurai tous dire de cet homme.

Mon cœur trépide, mon âme s’agite et mes pensées se vides vu que dans ma tête, les mots se précipitent en désordre.

        Le plus dangereux des hommes est apparemment celui-là qui est  prêt a mourir pour ses principes.

Sidi est réellement un exemple car à bien des égards antipode ; de ceux-là sans vergogne qui de tous, s’agitent.

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Au cours de sa vie, l’homme perpétuellement suppose, mais au finisse Dieu dispose.

Pour sa survie et pour sa foi, l’homme doit naturellement s’incliner devant cette loi des choses.

Le jour éloigné existe, mais celui qui ne viendra nullement, n’existe pas.

 Ce fut un Mardi sacré que la nouvelle fâcheuse tomba.

          Partout dans le monde les cœurs et les esprits en chœur fussent touchés par cette perte si chère.

Un homme modèle parmi les hommes, loyal et si sincère vient de parachever à jamais sa mission sur terre.

Sidi lamine Niasse s'en est allé subitement et dignement.

La Terre à l’unanime perd pour toujours un homme raffiné et éminent.

Ta vie sur terre na pas été vaine car sans toi beaucoup de vies seront rien.

Ce soi disant étranger parmi les siens, a su concrètement accomplit de sa vie des actes surhumains.

…………….

Ont se demandaient s’il est marabout, philosophe, journaliste ou politicien.

Un homme aimé et approuvé de concert par les musulmans, juifs et chrétiens.

Sidi ! Je témoigne fut un homme éloquent, savant, simple et croyant.

Il est de ceux-là qui durant leurs vécues étaient conscients  de leurs  place parmi les gens.

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Venu comme il est parti ; dans la discrétion.

Mais vécu comme il se doit d’exister ; dans la médiation.

Les témoignages fussent partout les mêmes.

Il fut quelqu’un de bien et d’humain.

 

Il fut surtout quelqu’un qui était présent quand le peuple à besoin de lui.

Au rang des hommes ; il à su mériter son cran et le salut.

>> Il parait une bonne action n’est jamais perdue, un tel Homme n’est jamais perdu ; Sidi le féru dans nos mémoires tu seras ancrés car tes actions se perpétuent à jamais dans l’humanité.

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[Efforcez-vous de faire du bon travail et de faire ce travail si bien que les vivants les morts et les gens qui ne sont pas encore nées ne pourraient pas le faire mieux : Soyez le meilleur de ce que vous êtes !]

                                                              Martin L King

                                                                                                                               

     ABDOU BASSIT BADJI

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Je dédie ce Slam à mes parents :

À mon père qui lui aussi ; est parti brusquement et dignement quand je fus enfant.

À mon ange Maman sans qui ma vie équivaudra à zéro.

 Et dans la foulée à la famille de Sidi Lamine Niasse.

 Plus particulièrement à toutes ses personnes qui nourrissent <<Je ne sais comment le nommer>> tellement les mots ne sauront suffire…

A l’égard de cet homme médecin des cœurs solides ; et médiateur cosmopolite.

>> Que firdaws soit son ultime demeure. 

Merci pour tous ! sidi