LA VIE EST PARFOIS CRUELLE !

   LA VIE EST PARFOIS CRUELLE




« Ecrire, c’est mettre en ordre ses obsessions »    
 Albert Camus




Quand ont étaient adolescent et innocents…
Ont ne pouvaient même pas imaginer qu’il arrivera un jour dans notre vie ; pas du tout comme les autres, où nous allons mourir.
Et ne plus jamais, au plus grand jamais revenir dans ce beau monde fou.
Cette pensée était quasi inexistante en nous, en âme et conscience ; car à bien des égards frappés de tous bords à la fois par l’innocence rimer d’ignorance extrême sur cette question nébuleuse depuis la nuit des temps.
Dans ce monde qui nous a vu naitre ; dans ce monde qui nous a vu grandir en accompagnant nos pas et dents de lait,  un monde qui pour nous étaient tous simplement éternel et perpétuel.
Ce monde témoins oculaire de nos débuts, qui à couvé nos joies de vivre et nos caprices ; ce monde pourtant si soyeux et au O combien généreux parfois ; nous dorlotent avec sa splendide pleine lune ; sans pourtant oublié ses brises sensationnels, ses marigots farfelus.
Un monde qui est la natte de tous les humains ; ces terres ses aires et mères ; ses forêts et ses montagnes semblaient  nous appartenir de droit; puisqu’il n’existait pas chez nous adolescents et innocent de frontière de couleurs de race ni d’ethnies et de religion.

La vie est belle et le verre à moitié plein.
Jusqu’au jour où un des nôtres  adolescents et innocent rejoint à jamais  les cieux ; plonge dans un sommeil perpétuel ; allant faire ce fameux et long voyage sans retour aux pays des merveilles comme  dit les parents dans nos jargons.
Le bémol est qu’il ne s’agissait pas de n’importe qui le sujet parti, on ne sait où ? Mais un des nôtres, avec qui ont passent la journée ont partagent des blagues et des fou rire, des secrets et des passions ; des instants inédits ; bref un frère de troupe une partie en nous et de nous s’en est allée.
C’est à partir de ce moment que le verre se brisa; la réalité s’installa ;  les questions se multiplient mais ont n’obtient jamais une réponse à se fier.
À qui veut l’entendre la mort brusque d’un ami pendant l’adolescence ;  ceci nous marque, en même temps nous tentent et nous hantent à jamais durant toute notre existence ; c’est tous simplement indéniable et mémorable.

…………

Il était une fois…

Dans notre Univers à nous ; nous étions et formions toujours un bloc indivisible, inaliénable, fiable et intouchable à bien des égards.
Entre nous dans notre univers à nous; dont nous seul avons le secret ; ensembles nous posions, soulevions, marchions, effectuions,  gagnions et triomphons toujours la main dans la main en chœur avec dévotions.
Cela existe-il toujours de nos jours au sein de cette jeunesse en perdition ? Dont les sentiments les plus partagés sont le sexe ; l’argent ; le mensonge ; la trahison et la méchanceté.
Je ne sais pas trop.
Comme disait Oscar Wild ‘’La nouvelle génération est épouvantable ; j’aimerai bien en faire parti’’
En réalité nous vivions dans un autre monde avec nos réalités à nous que nulle autre qu’adolescent ne pourrait comprendre.
Comme disait Antoine de Saint-Exupéry « Etre homme c’est être responsable, c’est avoir honte d’une misère qui ne dépend pas de soi, c’est être content d’une victoire que les camarades ont remporté, se sentir en posant sa pierre que l’on contribue à l’édifice du monde » 
Cependant dans la gloire comme dans les moments sombres de la vie, jamais nous ne devenions méconnaissables de visage, ou ne changeons de veste face aux péripéties douteuse qui s’offraient à nous.     
Nous étions juste Francs et droit dans tous les compartiments de chaque situation.
Notre amour envers notre prochain était vrai et réaliste visible et sensible, incommensurable, et inconditionnel, pas de haine en nous car comme l’a si bien dit Alphonse Daudet « La haine, c’est la colère des faibles » ; l’intérêt crypto-personnel fut en nous inerte.
En dépit nous adolescents et innocents avions des règles d’or intrépides, des jeux inédites des visons visés des rêves grandioses ; mais aussi des croyances indélébiles qui rythmaient du jour le jour nos quotidiens paradisiaque joyeux et fabuleux comme jamais vu senti ni touché voire même humé. 
…………………………….

Demain c’est le dernier jour de classe.

Était  la nouvelle tube de chanson des élèves partout dans la cours et dans les salles de classe voire même dans les rues et ruelles qui s’offraient et faisaient face à l’école.
Quasi le mot rythmait le plus les lèvres et faisait couler salives au sein de mes amis et camarades ; ce avec des chants et pas de danses farfelus et rigolotes.
C’était la joie dans les visages et dans les gestes de concert.
Même ceux qui n’avaient jamais sorti mots de leurs bouches depuis le début de l’année scolaire, dirigés les bagous avec art.

L’école tire sa révérence ; d’ores et déjà ce sont les vacances qui se pointent.
Pour nous Adolescent et innocent, chaque jour qui pic à l’horizon est un jour mémorable et vivable à fond avec la dernière énergie ; chaque instant est crucial et chaque moment est extraordinaire et inédit.

Ce fut  en classe de CM1 si j’ai bonne mémoire.
Après la fameuse récréation ; notre Madame comme nous l’aimions l’apostropher.
Ce jour là nous aviez ordonné de faire chacun un brillant exposé sur nos anges et tendre Maman en guise de dernier jour de classe.
Ce que nous exécutâmes en harmonie ; quand brusquement un camarade qui était assit juste derrière moi environs cinq mètre à la troisième table commençait à pleurer avec des larmes chaudes.
C’est plus tard quand on lui a tranquillisé que l’ont a tous compris à notre grande surprise le pourquoi de ses sanglots.
Il nous avait fait savoir qu’il à perdu tout récemment sa tendre maman !
Un silence accablante animé la salle ; de mémoire d’homme nous étions attristé mais pas plus que notre camarade je pense bien.
Qui lui seul dans la classe savait et ressentait ce quoi perdre une mère et vivre sans elle.
Et pour être franc aujourd’hui j’ose avouer jusqu’au moment ou j’écris ce texte d’extrême folie moi personnellement j’ignore qu’est ce que veut réellement dire perdre une mère. Dieu merci !
A ce que je sache c’est la pire des pertes et la chose la plus atroce qui peut nous arriver dans la vie surtout quand on est enfant.
Depuis ce jour, je n’avais qu’une seule prière dans les lèvres que si quelqu’un devait mourir entre moi et ma maman ; que ça soit moi ; je vous le jure que c’était l’un de meilleurs vœux.
Même-ci ma maman tombée malade, c’est comme-ci pour moi le monde s’effondre ; puisque je ne pouvais imaginer vivre sans elle tellement elle était tout pour moi.
À toutes ses personnes à qui leurs maman est parti très tôt ; néanmoins sont toujours là parmi les débout la tête haute sans sombrer dans la perdition en train de vivre avec dignité et couler une existence louable : Mes Respects !
Quand maman perde la vie ; papa cherche une autre maman pour combler le vide ; du moins essayer de combler son vide a lui.
Hélas pour nous adolescents ; c’est une perte irréparable.
Mais quand papa tire sa révérence ; on le sait bien c’est maman qui est là pour jouer pleinement le rôle de papa la tête bien haute donnant corps et âme dans les moments de souffrances de doutes et de solitude.
Elle par contre ne s’obstine pas parfois à vouloir trouver une autre personne pour vivre sous sa pénombre ; voici toute la différence.
S'il y'a une personne qui; sans besoin de te dire je serai toujours là pour toi; mais à chaque fois que tu ouvres les yeux tu le vois à tes côtés.
Une personne qui ne voit jamais tes erreurs tes changement d'humeurs, d'âge, et de taille; chez qui tu restes et demeure le petit chou des vieux temps.
Une personne dont les prières son meilleurs pour toi.
Une personne qui va te regarder avec les yeux de son cœur; t'écouter avec les oreilles de son cœur; qui na nullement besoin de te juger.
Qui na nullement besoin de parcourir l'univers pour déceler ce qui est en toi.
Une personne qui à acceptée de te porter neuf mois en elle; et qui va te porter dans son cœur pour toute la vie.
Une personne qui est toujours disponible à donnée son cœur afin que tu puisse vivre et réaliser tes rêves.

C'est ta Maman.
Il n’y a pas à chercher de midi à quatorze heures.

Cette Femme inouïe n’hésitera même pas à donner son cœur afin que ses enfants demeurent et soient parmi les meilleurs dans ce monde ; et même-ci ; oui même-ci cela devait se réaliser dans son dos après qu’elle ait quittée cette vie cruelle et incomprise ; l’essentiel pour elle est que sa prophétie se réalise.
…………………………………………….

Je suis resté observateur et inoffensif.
 Face à cette scène dramatique et cruelle qui se déroulait juste devant moi.

Je voyais sa copine en train de la soutenir la consoler; oui je me demandais bien dans mon fort intérieur comment elle a pu avoir un mental aussi fort sachant qu'elle aussi elle a échouée lamentablement.
Je me mettais dans la peau de ses deux jeunes filles aux rêves brisés aux espoirs envolés et à la réputation prête à être dénigrer à bien des égards.
Jamais je ne saurai savoir a quel point c'est difficile de rater le Bac.
Et j'en suis sur que jamais je ne saurai me consoler de cette échec après tant d'année de labeur et de sacrifice.
Dans le plus grand espoir de décroché ce fameux sésame qui fait tant rêver et qui est d’ailleurs le rêve de tout écoliers.
À qui veut l'entendre ne jugez jamais un élève de terminal; ne le faite surtout pas ; l'élève plus que tout souhaite réussir ; mais bon comme dit l’adage l’homme suppose ; Dieu dispose.
Etiez vous là pendant ses moment de nuit blanche ; de révisions de concentration inouïe de travail acharné de solitude et d’introspection … non évidement. 
Dans la foulée je me souviens comme si c’était aujourd’hui de sa fameuse phrase qui résonnant comme une bombe dans l’enceinte de la classe ; phrase courte et simple mais plein de sens qui à laissée tous les élèves bouche bée.
La réussite égale travail plus chance mes chers élèves : laissa notre professeur de philosophie. 
Compte fait il est indéniable que échouer tout simplement tue et déstabilise physiquement et surtout moralement.
Maintenant s'il doit s'en suivre les critiques et jugements et propos gratuites ; je vous assure ça sera une autre chose.
C’est bien dommage que dans nos pays notamment le Sénégal ; tu peux étudier et galérer pendant toute une éternité ; tout le monde s’en balle les couilles.
Ils ne savent même pas si tu parviens à payer convenablement tes études ; que si tu passe ou pas ; que si tu as le niveau machin ; mais il suffit une fois que vient le Bac du moins que les résultats tombent … on devient la tasse de thé, le sujet des ragots. Pathétique !
À tous ces gens qui rêvent un jour de décrochés le Bac ; que se soit ceux-là qui l’on maintes fois fait ; ou bien à ceux-là qui ne l’on pas encore fait ; aujourd’hui dans cette chronique et par ma plume débile je tiens à vous confier un secret.
Dites-vous que vous y parviendrez si vous prenez la volonté, la résolution et la fermeté de d’y parvenir.   
Ce avec la chance bien sur !
Comme disait ma tante Adèle on croit parfois que rien n’a de sens, alors que tout n’est que leçon.
Et puis enfin ; ce n’est pas à ceux qui on failli une partie de leurs vie ; qui nous diront que la vie à un sens.

………………….

Maintenant les choses ont changés ;
 Le monde évolue à une vitesse ahurissante les hommes idem… euh du moins certains d’entre-eux.
On ne te demandera plus le Baccalauréat seulement ; mais le Bac plus.
Voire la licence ; parfois même la maîtrise : Seul Dieu sait !
La vie est ainsi faite au moment ou certaines n’ont qu’un seul rêve celui d’avoir le fameux Bac, allant jusqu’à remué terre et ciel ; d’autres dans la foulée n’ont qu’une seule prière aux lèvres valider l’année.
C’est bien beau mais le diplômé quant-à lui à d’autres aspirations celui de trouver un job pour se réaliser afin de voir toutes ses sacrifices devenir de mauvais souvenirs.
La fille qui se voyait divine au fond moche ou belle ; sachant que le temps file ; et que l’heure est grave à un seule dessein se marier un jour avec l’homme parfaite ; qui d’ailleurs n’existe que dans les rêves et illusions ; oubliant parfois elle ; d’être parfaite.
L’agriculteur qui est l’un des personnages les plus important de la planète et d’ailleurs très croyant son plus immense souhait est que la culture soit radieuse bonne et bénéfique de tous bords.
Le soldat au front de bataille au cœur du brouillard et des coups de feu, n’aspire qu’á une chose comment anéantir son prochain ; son soi disant son ennemi.
Ainsi je m’en vais rendre un vibrant hommage à tous ses gens qui un bon jour on trouvés la mort ; sans savoir pourquoi ? Dans les guerres.
Et le fou qui pour lui la vie n’existe même pas ; que tous ses gens qu’ils voient qui passent et repassent ; qui courent de tout les côtés parfois sans destination voire vers une destination incertaine… à l’image des souris : Pour lui il s’agit des êtres super fou et très bizarre qui ne pigent rien.
Enfin la môme qui vient de naitre ; cet ange innocent qui voit du rose partout faisant le bonheur de la maison ;  qui grandit sous la pénombre de la famille ; choyé et aimé par ses parents ; ces derniers ayant milles projets pour lui à l’avenir ; et qu’un beau jour la vie ; cette vie tuer d’envie parfois cruelle en décide autrement. 
Comme la vie est parfois cruelle hein.
J’ai vu une personne digne et innocente être accusée injustement couler son existence en prison.
J’ai vu une personne hors du commun ; vouée a un avenir meilleur, rendre l’âme a la fleure de l’âge.
J’ai demandais a un sage pourquoi tant de haine ? Il m’a fait savoir quand on veut noyer son chien ; on l’accuse de rage.
J’ai vu un homme soi disant vilain sans rien d’enviable en train de  vivre en harmonie dans la paix inouïe.
J’ai vu des gens quitter ce monde sans avoir le temps de se préparer rempli d’injustice et d’erreur de folie.
J’ai vu une personne promise a l’échec ; sujet de tous les préjugés ; vilipender de tous bord ; réussir sa vie.   
Cette vie tuer d’envie est parfois cruelle mais ; elle mérite d’être vécue.

je dédie ce texte à mes parents qui malgré la cruauté de la vie; ont toujours été là.
Sans eux moi je serai un barbare .

ABDOU BASSIT BADJI [ANAKYSTE EN HERBE]

ÂMES USEZ VOUS









 














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